Pour la première fois, l’association la Marzelle organise son Salon du livre à la salle des fêtes de Terrasson, le dimanche 10 mars 2019 de 10h à 18h30. Une quarantaine d’auteurs, tout genre confondu, sont attendus. L’invité d’honneur est Juvénal Thiare Abita pour son nouveau livre : « e-migré ». L’entrée sera gratuite. L’événement est préparé par Didier Dominguez et Stéphanie Porte, présidente de La Marzelle. Adrien Anderson, Jean-Pierre Coffigneau, Franck Klarczyk, Michel Labussière, Magda Pascarel, Monique Puygauthier, etc. seront présents.
Les auteurs présents pour les dédicaces sont :
Adrien Anderson, genre thriller, polar et fantastique : « Le Cercle de Seth » et « Démoniaque » ; Estelle Audivert, roman et nouvelle ; Jean-Claude Auriol, histoire ; Brigitte Bonidon, poésie et roman : « Maudites guerres » et « Ma timidité maladive » ; Pierre Carayon : « Mes 40 rencontres avec des stars » ; Martine Claustres, roman jeunesse « Le Justaucorps Bleu » ; Docteur Jean-Marc Comas, médical, sur la tyroïde ; Florence Darignac, roman ; Philippe Deveaux, dessin et caricature, magnets ; Dominique Dernis, récit, voyage et romans ; Patrick François, humour ; Gillot ; Fabrice Gutierrez, polar, thriller et psycho : « Garance » ; Franck Klarczyk, thriller, polar ; Michel Labussière, journaliste : « Mai 68 en Périgord » ; Georges Labrousse, histoire ; Jocelyne Lafaille, guide, Brive ; Nicole Legay, roman ; Loïc Jan, poésie nouvelles ; Régine Laprade, romans : « Le Métis de Cao Bang » ; Joffrey Lebourg, high, fantasy, fantastique ; Fabienne Lhoumeau, roman, recueils : « Clair Obscur », « Le Fil de soi « , et « La Fenêtre » ; Florence Levet, roman ; Laurence Loriot, auteur jeunesse ; Abdelhamid Machako, recueil de poésies ; Jean-Louis Maures, roman, nouvelle et BD ; Jean-Pierre Meyer, roman, nouvelle et poésie : « La Passante » ; Alain Milcendeau, policier et roman ; Delphine Montariol, polar histoire ; Annie Morand jeunesse ; Elizabeth Ncaise, tableaux ; Magda Pascarel, bio, bien-être : « La Clé de la réussite par la volonté », « Bien-être Sérénité » et « L’Ethique pour offrir un sens à votre vie » ; Mokolat, illustratrice, dessinatrice ; Monique Puygauthier, handicap ; Jack Rivière, roman policier ; Michèle Rosenzweig, poésie roman ; Rudent Pierre, poésie et fables ; Rudent Ghislaine, contes et fables ; Erika Sans : auteur jeunesse ; Louve Samie ; Corinne Vanes polar ; Jean-Pierre Coffigneau (clown) avec un livre sur la « 2CV »… L’histoire d’une bande de potes qui sillonne la France dans les années 70 en 2CV ; Brigitte Ovaguimian, tourisme : « La nature d’un territoire » ; Gilbert Dedieu…
Adrien Anderson à Terrasson…
Le jeune romancier Adrien Anderson sera présent au 1er salon du livre de Terrasson ce dimanche 10 mars pour y dédicacer son dernier roman « Le Cercle de Seth », un polar au doux parfum de thriller. Chroniqueur passionné ayant rencontré une belle brochette d’artistes français tels que Claude Lelouch ou encore PPDA, Adrien Anderson est avant tout romancier trentenaire aux multiples facettes. D’abord spécialisé dans le roman-court, il est à l’origine de la méthode Zola, soucieux d’adapter la littérature aux nouvelles générations de lecteurs « plus instantanés ». Ses romans privilégient l’action et limitent les descriptions pour rendre le lecteur acteur de sa propre lecture.
Son dernier livre vient d’être présélectionné par le jury du prix de Figeac et a été retenu pour être présenté à Monaco. Il y a trois ans, Adrien avait été récompensé aux côtés de Pierre Bellemare pour son engagement à la démocratisation de la littérature. Approché par les équipes de l’un des plus grands musées de France, il est aussi monté à Paris pour terminer finaliste d’un vaste projet de démocratisation de la culture.
« Le Cercle de Seth » est publié aux éditions Prem’Edit (sélection réalisée par un collège de 120 lecteurs : contrat d’édition). Ce jeune rotarien est membre de la Société Civile des Auteurs Multimédia.
A l’occasion de l’avant-première de la sortie du livre, Alain Dreuilhe, contrôleur général honoraire de la Police Nationale, a dispensé une conférence en criminologie, faisant référence aux thématiques abordées dans le roman (en présence d’une centaine de personnes venues pour l’occasion). L’ouvrage a été présenté au Festival Transfrontalier du film et du roman policier.
« Le Cercle de Seth » est préfacé par un ex négociateur expert du GIGN. Cette fiction évoque en filigrane le terrorisme fanatique à travers l’univers d’une secte puissante.
Avis de critiques littéraires :
« On se trouve dans ce roman en compagnie de l’inspecteur Jim Spenser qui se retrouve plongé dans une série de 13 meurtres se répétant tous les 18 ans et ayant un rituel commun : un cercle dessiné autour de la victime. Et là, boom ! On est totalement pris dans cette traque du tueur en série, mais également dans le développement d’une secte très influente et des dérives qu’elle entraîne. Une belle montée en puissance. Je l’ai lu quasiment d’une traite tellement le rythme est bien mené par l’écriture de l’auteur. Un flic très attachant, des personnages très forts… Et au moment où l’on pense que l’histoire va se tasser, on est surpris par la tournure des événements. C’est ce qui a fait que j’ai vraiment adhéré à cette course contre la montre sans répit. Cela reste une très bonne lecture et un très bon thriller sur fond de corruption et manipulation. »
« Un polar qui sort des sentiers battus ! L’inspecteur Jim Spenser se voit confier une affaire de meurtres avec mutilations. En menant l’enquête, il découvre que c’est la suite d’une série de crimes qui se répète tous les 18 ans. Il va devoir affronter Bernard Rocant, gourou fanatique des « Adorateurs de Seth ». Mais pas que… Dans ce roman, l’auteur avec un style rapide et sans détails futiles, associe meurtres en série, rituels sataniques et terrorisme. Ses personnages de Jim et Julian d’une droiture sans reproche sont confrontés à un criminel sadique, fanatique, provocateur et très sûr de lui. La chasse à l’homme s’engage dans une course à la montre. Ils vont se retrouver embourbés dans un labyrinthe de corruption touchant tous les niveaux de la société. Au fil des chapitres, l’enquête des meurtres en série qui semble résolue à la moitié du roman, va prendre de l’ampleur et une direction inattendue. Là, je me suis dit : que peut-il imaginer de plus ? Et bien l’auteur m’a entraîné dans l’horreur du terrorisme fanatique, l’exploration et la manipulation de l’âme humaine et les dérives incontrôlables de la société. Jim apprend à ses dépends qu’il ne faut faire confiance à personne ! Avec la plume directe, précise et technique de l’auteur, je suis vite rentrée dans ce récit saisissant qui me laisse dans un sentiment d’injustice et perplexe sur l’avenir effroyable qu’il a décrit. Je sais que j’ai lu une fiction et j’espère que ça restera une fiction ! » Nathalie Glévarec, blogueuse littéraire « Images de romans ».
– Magda Pascarel. Essayiste et poète
